Évidemment,
l’assurance-vie permet de rentabiliser ses épargnes, mais il ne faut pas se laisser séduire par ce seul argument. En effet, on doit toujours s’attendre à des imprévus, même si ces derniers sont mauvais. Normal, parce que l’assurance-vie est un engagement à long terme, d’où l’intérêt de prendre son temps avant de signer sur le papier. Mais à quoi doit-on réfléchir réellement ? Est-ce à l’offre adaptée ? Si oui, comment s’y prendre ?
Le taux de rendement : un élément à prendre en compte
Si l’on souhaite dénicher le meilleur contrat, il faut évaluer sa rentabilité. Cette étape n’est pas difficile à effectuer, car il suffit de se référer sur la performance de son fonds en euros. Rappelons que celui-ci est l’actif garanti par l’assureur. Il est généralement investi en obligations, afin d’être revalorisé. Bien évidemment, il doit toujours être rentable. Pourtant, ce n’est pas le cas depuis la baisse des taux depuis quelques années. Effectivement, les assureurs et les banques classiques arrivent à peine à proposer un rendement de plus de 1,8 %. Néanmoins, sachez que certains établissements parviennent à dépasser 3 % nets de frais en 2017.
Toutefois, si l’on veut décrocher les bons résultats avec le fonds en euros, malgré le contexte économique morose, il ne faut pas seulement se référer sur le taux de rendement. En effet, on doit aussi juger la performance du contrat à long terme. De ce fait, on ne doit pas se laisser séduire par des offres alléchantes qui proposent des rendements courts. Comme le vin, le contrat doit se mettre en valeur chaque année. Normalement, il doit afficher un taux de rendement de 8 % minimum en 3 ans. Si l’on n’arrive pas à procéder au calcul soi-même, on peut très bien se renseigner sur le service de
Hedios patrimoine.
Les frais d’entrée : un critère à ne pas négliger
Pour
choisir le bon contrat d’assurance-vie, il ne faut pas non plus oublier de vérifier les fameux frais d’entrée. En effet, ils s’avèrent être très pénalisants dès le début du placement, surtout si le capital versé n’est pas très conséquent. Si possible, on doit dans ce cas choisir une assurance proposant des frais moins onéreux. C’est le cas des courtiers web qui s’engagent à trouver des contrats dépourvus de coût.
Mais, cela ne signifie pas pour autant que l’on doit immédiatement s’orienter vers ce type de contrat, sans avoir comparé. Certes, il propose un frais 0 % s, mais à long terme, il peut être moins rentable que les autres formules sur le marché. Il s’agit par exemple des contrats dits patrimoniaux qui fournissent des coûts d’entrée abordables (généralement autour de 2 %), tout en restant rentables à long terme. Dans tous les cas, on ne doit pas non plus se fier uniquement aux frais de versement. Effectivement, on doit aussi se référer sur les frais de gestion et les frais annuels. Pour s’en sortir, on peut solliciter l’aide d’
hedios patrimoine, ou consulter
hedios avis.
Un contrat souple : le plus intéressant !
Le meilleur contrat de vie est certainement le plus souple. Mais de quelle souplesse parle-t-on précisément ? On fait référence à son mode de fonctionnement. Normalement, on doit avoir une liberté d’alimenter ou de retirer les rentes, sans que l’on soit besoin de remplir des formalités trop rigoureuses. Dans ce cas, le contrat à versement libre est le plus intéressant. Tout simplement parce que l’on peut verser à tout moment les rentes selon ses disponibilités financières.
Mais, cela n’empêche pas pour autant de choisir les autres possibilités, comme le contrat à prime unique. À la différence du contrat à versement libre, celui-ci suppose que l’on doit effectuer un versement unique (au départ), sans que l’on possède la possibilité de le toucher après. S’il semble être très rigide, il permet toutefois de rentabiliser son épargne, surtout si l’on souhaite ne pas retirer ses fonds. Néanmoins, sachez que l’on peut aussi opter pour une formule intermédiaire en optant pour le versement périodique.
La gestion du contrat : un élément indispensable
Pour faciliter la tâche, il ne faut pas oublier de choisir le bon gestionnaire. Évidemment, il est tout à fait possible de s’en occuper soi-même. Si au début, cette solution est intéressante, parce que l’on est libre de gérer ses fonds, avec le temps, elle est fatigante. C’est la raison pour laquelle, il est préférable d’opter pour une gestion simplifiée. Sur ce point, si l’on souhaite optimiser son contrat, il vaut mieux opter pour la gestion pilotée. Très répandue, celle-ci présente l’avantage d’être moins onéreuses que les autres méthodes. En effet, les frais de gestion sont très abordables.
En réalité, cette gestion pilotée consiste à engager un prestataire qui s’occupe de gérer toutes les transactions. En tant que gérant, il est chargé de transmettre les allocations auprès de l’assureur, en veillant à ne pas commettre d’erreur. Dans tous les cas, celle-ci est rare dans la mesure où il lui incombe d’effectuer un compte rendu à chaque transaction. Pour plus d’informations, à ce sujet n’hésitez pas à vous renseigner auprès d’
hedios